Le blog du Club Lamartine

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Semaine de la liberté de la presse - Soirée Daniel Pearl avec Bernard de la Villardière

Dans le cadre de la première semaine de la liberté de la presse à Dijon, sous l’égide de Reporters sans Frontières et en partenariat,

le Club Lamartine organise la projection du film « un cœur invaincu » qui retrace les derniers jours de la vie de Daniel Pearl. Cette Soirée thématique en hommage au journaliste Daniel Pearl se déroulera au cinéma Darcy à 20h.

Le film sera suivi d’un débat sur les problématiques et dangers du travail des journalistes en zone de guerre. Intervenants : Bernard de Lavilardière (M6), Emmanuel Razavi (HAMSA Press) , Frédéric Pons (président de l’association des journalistes de défenses), Stephan Villeneuve (Grand reporter) 
Entrée : gratuite et ouverte à tous (dans la limite des places disponibles). 

Les places seront à retirer à partir de Lundi 19 au cinéma Darcy, place Darcy à Dijon

Les Protocoles de la Rumeur : soirée projection + débat le jeudi 29 mars

A l’occasion de la première projection, à Dijon, du documentaire « Les Protocoles de la Rumeur », le Club Lamartine, en partenariat avec la Gazette de Côte d’Or et le cinéma Devosge, organise une soirée spéciale, projection et débat, au prix unique de 5 euros. 
La séance débutera à 20h30 et sera suivie d’une rencontre avec Barbara Necek réalisatrice avec Antoine Vitkine de deux films diffusés sur ARTE sur les théories du complot autour du 11 septembre, intitulés "le 11 septembre n'a pas eu lieu" et "Le Grand complot".

 

Actuellement, elle tourne un film de 52 minutes sur les Protocoles des "Sages de Sion" en collaboration avec , l'un des spécialistes mondiaux.Lors de cette soirée, Barbara Necek démontera les mécanismes des théories conspirationnistes et pointera sur les similitudes entre les deux reportages "le 11 septembre n'a pas eu lieu" et "Sages de Sion". Elle évoquera ainsi l'histoire de ces célèbres rumeurs et leurs conséquences sur le débat d’idées. Cet événement spécial inaugurera la semaine de projection du documentaire « les Protocoles de la Rumeur » de Marc Levin, qui démontre que les idées obscurantistes sont encore au XXI siècle très ancrées et sont un danger pour la démocratie.

Avant-première à Dijon : Ben Laden, les ratés d’une traque

Il y a plusieurs mois, Emmanuel Razavi a présenté au président du Club Lamartine, Lionel Fourré, son dernier reportage réalisé en Afghanistan et en particulier les nombreuses révélations qu’il contenait. 
Immédiatement, le Club Lamartine a suggéré d’organiser une avant-première privée au cinéma Devosge à Dijon. Emmanuel Razavi a accepté l’idée.

Le rendez-vous était donc pris pour le mardi 28 novembre. On notera que cette semaine, le magazine VSD et la Gazette de Côte d’Or ont publié quatre pages sur ce reportage : "Ben Laden: Les ratés d'une traque" d’Emmanuel Razavi et Éric Lavarene.

En partenariat avec Hamsa Press, Ligne de front et le cinéma Devosge, le Club Lamartine a l’honneur d’offrir à 200 invités Dijonnais en avant-première le reportage suivit d’un débat avec Bernard de Lavillardière et Jérôme Deliry (producteurs), Emmanuel Razavi (Réalisateur) et Asim Naïm (spécialiste de l'Afghanistan). 

Le film explique comment cinq ans après l’attentat contre le World Trade Center, Oussama Ben Laden court toujours. Malgré une débauche de moyens humains et technologiques sans précédent, les forces américaines, françaises et pakistanaises ne l’ont toujours pas capturé. Il se cacherait le long de la frontière afghano-pakistanaise, dans les zones tribales. Une région dont le contrôle échappe en partie au pouvoir de Kaboul et d’Islamabad. 

Pourtant, par deux fois, l’homme le plus recherché de la planète a été localisé… sans pour autant être appréhendé ! Des ratés qui posent nécessairement des questions. 

Depuis, les langues se délient de chaque côté de la frontière. De Kaboul à Peshawar, Seigneurs de guerres, membres du cabinet de Karzaï (le chef de l’Etat Afghan), responsables des services pakistanais (ISI), militaires français ou américains se succèdent pour expliquer que les Américains ont tout fait pour éviter de capturer l’ennemi public n°1. Deux raisons expliqueraient ce « raté » peut-être pas aussi anodin: d’une part, la traque de Ben Laden légitimerait la présence présence de forces d’occupation en Afghanistan. D’autre par, les services pakistanais pensent que sa capture pourrait embraser leur pays. 

Nous vous tiendrons informés de sa prochaine diffusion sur l’une des chaînes françaises.

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